Des méthodes naturelles pour lutter contre les affections des voies respiratoires. ISTOCK
La pollution est la première responsable des affections des voies respiratoires. Partez au milieu du désert ou dans une île déserte, vous respirerez mieux. Ce n’est pas seulement l’absence de pollution mais les causes peuvent aussi venir du stress.
Sympathicothérapie
En cas de stress, la muqueuse nasale se congestionne. Pourquoi? Parce que l’intérieur du nez est une zone réflexe importante qui a donné naissance à la plus efficace des médecines antistress: la sympathicothérapie. Cette réflexothérapie consiste à stimuler des points réflexes à l’intérieur du nez pour agir, à distance, sur tous les organes. Avec un avantage énorme sur les autres réflexologies: la muqueuse nasale est en liaison directe avec la glande hypophyse qui contrôle vos émotions. Trois séances de sympathicothérapie et votre stress s’envole, votre muqueuse se décongestionne, vous respirez librement. Une séance par mois et le stress n’aura plus de prise sur vous.
Huiles essentielles
Pour éliminer microbes, virus et acariens, pulvérisez sur votre oreiller un mélange de 41 huiles essentielles. Vous dormirez bien et, tout comme vos enfants, vous n’aurez plus la goutte au nez. Et n’oubliez pas que l’intérieur de votre maison est cent fois plus pollué que l’air extérieur. Un conseil? Appelez le 022 731 06 39.
Herbes médicinales
MB • Quand vos bronches sont encombrées, faites confiance aux herbes médicinales. Elles ont fait leurs preuves depuis longtemps. Une des plus anciennes formules est celle du phytomiellat Les Saints des Bronches. Une macération de quatre plantes fraîches sauvages: herbe de Saint Fiacre, de Saint Jean, de Saint Julien et de Saint Guérin. Une recette déjà connue au Moyen Age! En cas d’encombrement, il suffit d’une cuillère à café, matin et soir, pour retrouver, très vite, la voix claire et le souffle puissant. Si vous avez tendance à la bronchite chronique, à l’asthme, commencez votre cure tout de suite et finissez-la à la fin de l’hiver! Aucun risque d’accoutumance ni d’effets secondaires.