EST SENSIBLE à ce grand combat qui consiste à féminiser les noms de rues. Tout d’abord parce que l’utilité de la chose lui saute aux yeux et d’autre part, parce que ça lui a offert l’occasion de faire une petite balade virtuelle dans notre belle cité. Du coup et pratiquant pour rire cet exercice littéralement, il s’est aperçu que certaines rues pourraient conserver leur nom d’origine, déjà suffisamment évocateur de la féminité, comme la rue de Berne, la rue du Cloître ou encore et la rue Agasse.
A POURSUIVI sa balade et s’est amusé à imaginer ce que certains noms de rues pourraient devenir au féminin. Pour le plaisir, en voici quelques-uns que Le Gniolu, par jeu, vous laisse féminiser vous-mêmes: «rue du Beulet», «rue de la Bourse», ou pire encore comme «Chausse-Coq», «Louis-De Montfalcon» et bien entendu «Théodore-De-Bèze».
CONSTATE les effets de la nouvelle loi sur la laïcité. Cette dernière interdisant tout signe religieux extérieur en séance plénière d’un législatif, une élue écologiste du Conseil municipal de Meyrin portant le voile a choisi de ne pas siéger. Elle a décidé de faire une croix dessus.
SE DIT qu’il se passe toujours quelque chose du côté du FC Sion de Christian Constantin. Lors du match samedi 16 mars contre l’équipe de Grasshopper, des failles dans la sécurité ont permis à des abrutis de se distinguer avec des jets de torches. D’où ce titre d’un journal du dimanche: «Les ultras de GC mettent le feu à Tourbillon.» Tenter de brûler un tourbillon, d’autres appellent ça «le feu au lac».