En Suisse, comme ailleurs en Europe, la population passe 90% de son temps dans des lieux de vie clos. Dès lors, ouvrir ces espaces sur l’extérieur est une nécessité et le verre s’y prête merveilleusement bien. Mais ce n’est pas sa seule vertu. Ses propriétés mécaniques lui confèrent une résistance à toute épreuve. Ainsi la compression du verre est très élevée, elle dépasse largement celle des autres matériaux de construction. Dès lors, les problèmes sont rares lors du montage de vitrages sur un bâtiment.
Autre qualité relevée par le spécialiste suisse Glas Trösch, ses possibilités en matière de protection contre le feu: «Ce matériau n’a pas uniquement pour vocation de répondre à des exigences esthétiques: il s’impose de plus en plus comme une protection contre le feu, la fumée et le rayonnement thermique. S’agissant du verre utilisé comme cloison de séparation transparente, les principaux critères d’évaluation portent sur sa durée de résistance au feu mais aussi sur sa capacité de protection contre la fumée et la chaleur.»
Matériau polyvalent
De plus, le verre est composé de matières premières inorganiques naturelles. Sa surface étant homogène et lisse, il est d’un entretien facile et, de ce fait, très hygiénique. Il répond aux besoins humains de protection contre les intempéries, de lumière naturelle ou encore de chaleur. Compte tenu de sa translucidité, de sa résistance thermique et mécanique élevée et de sa polyvalence, le verre peut être utilisé, pratiquement sans restrictions, comme cloison intérieure ou extérieure.