Selon le professeur Antoine Compagnon, les soldats de la Première Guerre mondiale avaient parfois l’impression de vivre des vacances: beaucoup d’attente, beaucoup d’ennui, et finalement peu d’action.
Institut national genevois, rue Jean-François Bartholoni 6, Genève. Mardi 27 février à 18h30. www.inge.ch